Je t’
aime
ton regard
intérieur
for(t)
de silence
Insistance
fine
de pensée
muette,
pesée
lourde
qui se passe
de dire
Profondeur,
abîme
où je te regarde,
et moi,
tes sentiments,
crainte
de fixation
où le temps
témoin
de bien(s)
des hargnes
féroces
ficelle
ce qui
Liberté vive.
Miroir
sans poches
mais double
ouverture
neuve,
puisée de ressources
tiennes,
miennes
brise de crispations
ternes
qui
Pomme tombée,
gisant
vide de sève
épuisée vive
sauf du savoir
d’être
là
en attendant
la fin
mais toi,
ce fonds intense
aux questions inusées
inusables
dans ce regard
sans fin
où s’agite la nuit
Reconnaissance.
@MC, 14.09.2020