Tu
miracles
ma vie :
Les papillons
ivres de ciel
ne battent (soudain) plus de l’aile.
Midi –
et le monde accompli
déconcerte :
Il s’en tient
comme dans le plus beau « Testament »
à l’être qui le comble
Et l’eau
au bruit de serin
Plus que jamais berceau du temps :
Car elle
et son armée de brillants,
semeuses d’âmes vives
Voiles fraîches et gorgées
d’aventures
avenir
où l’espace
dénouant la distance –
intime les profondeurs
@MC – 9 août 2020