En attendant un article plus développé, en ce jour anniversaire du grand homme, né le 12 décembre 1821, quelques mots de Gustave Flaubert à l’éditeur de musique Maurice Schlésinger, dans une lettre du 24 novembre 1853 :
« Tout est ici pour le plus mal dans le plus exécrable des mondes possibles, et la décrépitude universelle, qui m’entoure de loin, m’atteint au cœur. Je deviens d’un sombre qui me fait peur et d’une tristesse qui m’attriste. On ne peut malheureusement s’abstraire de son époque. Or, je trouve la mienne stupide, canaille, etc., et je m’enfonce chaque jour dans une ourserie qui prouve plus en faveur de ma moralité que de mon intelligence. »